mardi 27 mai 2008

JEAN PIERRE ARRETE EN BELGIQUE





Fragilisé, le MLC doit inventer l'opposition à Kabila sans Bemba
Privé de son chef charismatique Jean-Pierre Bemba, arrêté sur mandat de la Cour pénale internationale (CPI), le Mouvement de libération du Congo (MLC) doit de réorganiser rapidement s'il veut conserver la tête d'une opposition crédible en République démocratique du Congo (RDC).

"Bemba représentait l'opposant, le seul rival de taille (du président de RDC) Joseph Kabila. Si le MLC est incapable de se relever de sa décapitation, il offrira un boulevard au pouvoir", estime un observateur de la vie politique congolaise. Le premier réflexe du principal parti d'opposition du pays a été de serrer les rangs autour du chef disparu, en dénonçant l'épreuve "injuste" imposée au sénateur Bemba, arrêté samedi à Bruxelles sur mandat de la CPI.

L'ex-vice-président de RDC est poursuivi pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité, notamment des viols et actes de tortures, commis par ses hommes en Centrafrique en 2002 et 2003. Le MLC a dénoncé dès dimanche la "politisation" de la CPI, l'accusant de faire le jeu du pouvoir en retirant de l'échiquier congolais la pièce maîtresse de l'opposition.

Mais depuis des semaines, les différents groupes parlementaires d'opposition se disputent sur les termes d'un règlement intérieur, dont l'adoption est un préalable à la désignation d'un porte-parole, conformément à la loi de décembre 2007 sur le statut de l'opposition politique en RDC. "Bemba reste notre candidat au poste de porte-parole", affirme François Muamba, secrétaire général du MLC et numéro un par intérim.

L'adversaire malheureux de Kabila à la présidentielle de 2006, exilé depuis le désarmement forcé de sa garde rapprochée à Kinshasa au printemps 2007, préparait son retour. Il était était donné gagnant, le MLC se prévalant de plus de la moitié des quelque 145 députés et sénateurs d'opposition. "On sait que la donne a changé, mais le plus important est dans un premier temps d'apparaître soudés. On doit ménager les ambitieux qui voudraient vite tourner la page Bemba et les durs qui voudraient mettre le pays dans la rue", explique un cadre du MLC sous couvert d'anomymat.

Lundi, des milliers de partisans ont marché dans les rues de Mbandaka, capitale de l'Equateur (nord-ouest, fief de Bemba), pour exiger la libération de leur leader. Mardi matin, le MLC appelle à un rassemblement "pacifique" à Kinshasa, en signe de solidarité avec le chef emprisonné. A Kinshasa, le gouvernement a sobrement "pris note" de l'arrestation de l'ancien vice-président, tandis que les petits partis d'opposition, qui contestaient jusqu'alors l'hégémonie du MLC, ont adopté un ton prudent.

"C'est comme au Moyen-âge, les seigneurs se font la guerre, mais quand l'un d'entre eux est durement touché, on fait une trêve. Nous avons des questions sérieuses à régler pour organiser l'opposition, nous allons prendre le temps d'en discuter avec les amis du MLC", explique le député Gilbert Kiakwama. Au MLC, les cadres sont conscients des risques d'une guerre de succession aux accents tribalistes: "François Muamba est assez légitime, mais il est du Kasaï. José Makila est de l'Equateur (comme Bemba dont il est parent) mais il est colérique et peu diplomate", soupire déjà l'un d'eux.

Malgré leur amertume, certains jeunes militants estiment que l'arrestation de Bemba peut être une chance pour l'ex-rébellion MLC, muée en parti politique en 2003 après la fin de la dernière guerre en RDC, de tourner enfin la page de sa jeunesse. Le MLC "tourne depuis un an sans Bemba. Il survivra. Mais ceux qui (au pouvoir) sabrent le champagne feraient bien d'être prudents", estime un journaliste pro-MLC, "parce que cette histoire montre bien que personne n'est à l'abri". (belga/7sur7)

LE MENSONGE DE JEUNE "HERVE BAMPAKA"




Pour ce qui concerne les mensonges dans la jeunesse actuelle, nous constatons que ce mensonge reste sans position quel que soit dans le bien ou dans le mal. Mon ami Herve nous montre d'une façon un peu approfondie le mensonges des jeunes. Mon ami Herve a bien parlé dans son blog dece qui concerne mensonge.
Voici quelques traits qu'il a poussé

LE MENSONGE DE JEUNE



Il est vrai que nous fréquentons les milieux publics dans notre vie quotidienne, nous créons des relations les uns les autres pour qu'il y ait équilibre dans la vie. Chacun de nous est responsable de ces actes: la façon dont je me comporte à l'égard des autres et ma façon de vivre avec eux, et surtout la manière de m'adresser aux autres , pendant nos conversations.
Mentir c'est un mot qui ajoute une note négative dans la vie de tous les jours. Quand ce mot arrive à primer sur les autres vertus, c'est fond une chose que l'on doit bien voir et soigner. La vie humaine n'est plus prise au sérieux par certain,es personnes, elle est menée comme une pièce de théâtre, soit on réussit ou bien on perd grâce au mensonge.


Les mensonge s'oppose à la Vérité



Il est déplorable de découvrir que certaines personnes sont championnes du mensonge. Sans gêne ni honte, quand elles se mettent à mentir, elles ne tiennent pas compte de leur rang et se rendent ridicules même pour des banalités. De pareilles gens vivent de manière contradictoire: la vérité, c'est le mensonge et le mensonge c'est la vérité. Ici il ne s'agit pas d'évoquer le mauvais usage de téléphone car, la plus part des gens se cachent celui-ci pour pour justifier leurs mensonges.
Mais la réalité c'est que l'on est déjà un vrai menteur et le téléphone ne sert qu'à l'expression de ce qu'on est. Disons par exemple que vous êtes à la maison et quelqu'un vous donne un coup de téléphone afin de vous localiser, peut-être parce qu'il a besoin de vous rejoindre, et que vous lui dites que vous êtes au service; ce n'est pas le téléphone qui a menti; mais c'est bien vous même qui l'avait fait intentionnellement.
Le téléphone n'est qu'un instrument qui vous a aidé à exprimer votre nature mensongère. Ecoutons le défunt artiste Charles Mombaya d'heureuse mémoire dans "Allo! Téléphone". Il ne condamne pas les utilisateurs du téléphones ni les propriétaires, mais dans son aperçu général, il nous présente les bienfaits et les méfaits du téléphone. Il parle en grandes lignes des aspects positifs et négatifs du téléphone comme moyen de communication. Et il nous revient d'en faire bon usage.
Aujourd'hui, il n'est pas possible pour certaines gens de passer toute une journée sans toutefois sortir des mensonges de leur bouche. En quelque sorte, le mensonge a pris de l'ampleur au point que pour eux, il devient une fonction vitale, comparable à la respiration, et d'ailleurs, on le dit souvent: "Il ment comme il respire!" Avec toutes les bonnes manières possibles , il est normal qu'une personne , un être humain se trompe, mais pas qu'elle mente, parce que sa conscience ne le laissera pas tranquille. On peut corrompre sa conscience te mentir tout bonnement, mais sachez qu'agir tromper soi-même, car tôt ou tard, la vérité finira par se faire savoir.
Cette culture peut se transmettre aussi par la mauvaise influence des autres, dans notre entourage ou encore dans nos lieux de service. Ne dit-on pas que si vous arrivez dans un village où la danse commence par le pied gauche, il faut emboîter le pas? C'est ne pas un adage justifiant de nos mensonges, mais c'est bien souvent de cette façon que l'on tient à se défendre lorsque l'on est découvert par la suite comme étant menteur. Ainsi certains diront: "Dans notre service pour avoir une chose il faut mentir, pour avoir une permission, il faut chercher un prétexte", "dans notre école (classe) pour avoir des points et passer dans la classe supérieure, il faut mentir, tromper les professeurs", "pour justifier sa médiocrité il faut se référer à ce qui est déjà médiocre!".
Où allons-nous, quand le mensonge prend la place de la vérité dans notre vie?




Conseil


Cher jeune, papa, maman, vous ne savez pas que le mensonge est un vice? Le mensonge détruit les rapports interpersonnels, apprenez désormais à ne rien dire que la vérité, la vérité a toujours été une source de grande cordialité. Ainsi vous vivrez paisiblement non seulement avec Dieu mais aussi avec les autres et surtout avec toi-même.
Hervé Bampaka Ngila

Le sens de la souffrance de Jean-Paul II






Le sens de la souffrance de Jean-Paul II


L’HEURE DE JEAN-PAUL II
La vision d’un pape malade, souffrant et diminué suscite de nombreuses interrogations, voire des indignations. Ce qui interpelle le plus est le fait qu’il reste en fonction. Pour les uns, l’image réconforte tous les malades ; pour d’autres elle leur est une insulte. Pour les uns, le pape se donne « jusqu’au bout » ; pour les autres, il s’accroche orgueilleusement à ses fonctions. Partant de ce constat, et du fait que l’Eglise n’a pas qu’une dimension institutionnelle, juridique et humaine mais aussi, pour les catholiques, une dimension spirituelle, mystique et providentielle, il est peut-être opportun de chercher à comprendre le sens profond de ce que vit le souverain pontife - ce qu’il a librement décidé de vivre - et le sens que cela peut avoir pour l’ensemble des chrétiens et ceux que la question intéresse. Le cardinal Jean-Marie Lustiger lui-même, dans une interview accordée à RTL il y a quelques semaines, savait qu’il choquait en déclarant : « Le Pape est actuellement en train de gouverner l’Église figurez-vous ! » Comment, oui comment peut-il être en train de gouverner l’Eglise ? Pour le cardinal, c’est en faisant « ce que le Christ a dit, (...) en aimant et en offrant sa vie pour les autres ». Jean Vanier disait la même chose il y a quelques temps : « c’est maintenant que Jean-Paul II nous montre ce qu’est la papauté ». Car gouverner, dans la tradition chrétienne et européenne, c’est servir. Pour le fondateur de l’Arche : « le Pape est le bon berger qui donne sa vie, qui devient faible et qui montre ainsi comment nous devons porter notre propre faiblesse, et non pas la cacher » (Lourdes Magazine, janvier-février 2005, p. 34). Une attitude de défi dans notre société moderne ? Pour le cardinal Lustiger, l’essentiel est que Jean-Paul II « continue de remplir ce signe du Christ compatissant qui porte les souffrances du monde ». Et ces paroles de Jean Vanier dérouteront plus d’un lecteur : « Je sens qu’il enseigne plus par sa vie et sa sainteté aujourd’hui que par toutes ses encycliques ». Nous serions alors en train de vivre un des moments les plus forts du pontificat, coïncidant peut-être avec la dernière phase de la maladie du pape : comme comprendre cette « heure » de Jean-Paul II ?
Présence et définition de la souffrance
Le mieux est de puiser dans les propres écrits de l’intéressé pour entendre ce qu’il dit de la souffrance, notamment dans la lettre Salvifici doloris qui date de 1984. Le pape y développe le sens chrétien de la souffrance et sa valeur « salvifique » ou « rédemptrice ». Jargon catholique ? Peut-être... Et en voulant dire que la souffrance sauve, le pape serait-il un antique doloriste ? Cherchons plus loin. Exprimant la pensée de l’Eglise, Jean-Paul II part du constat - certes réaliste et que nul ne saurait nier - que « la souffrance semble être, et elle est, quasi inséparable de l’existence terrestre de l’homme ». Mais le christianisme proclame que l’existence est un bien : le mal qu’on y rencontre est donc un manque, une limitation, une altération. C’est ainsi que Jean-Paul II définit la souffrance. « L’homme souffre (...) en raison d’un bien auquel il ne participe pas, dont il est (...) dépossédé ou dont il s’est privé lui-même. Il souffre en particulier quand il « devrait » avoir part (...) à ce bien, et qu’il n’y a pas part ». De plus, il y a entre ceux qui souffrent une solidarité spécifique. Le pape explique que l’analogie des situations fait que les hommes qui souffrent se rendent semblables. On comprend alors le lien si fort qu’il entretient avec les malades. Le monde de la souffrance est un « appel à la communion et à la solidarité » dit-il. Le pape précise aussi qu’il est faux de dire que « toute souffrance soit une conséquence de la faute et ait un caractère de punition » et, à l’appui de sa démonstration, il invoque la figure biblique de Job. La souffrance, malgré tout, doit servir à la conversion, c’est-à-dire à la reconstruction du bien en l’homme, qui peut reconnaître la miséricorde divine dans cet appel à la pénitence. Celle-ci a pour but de triompher du mal, qui existe à l’état latent dans l’homme sous diverses formes, et de consolider le bien tant dans le sujet lui-même que dans ses rapports avec les autres et surtout avec Dieu. Le pape présente ensuite la place particulière du Christ dans cette problématique.
Souffrance et Rédemption
Le Christ s’est fait proche du monde de la souffrance humaine en prenant sur lui-même cette souffrance. Il ne l’a pas porté comme un héros antique, non, il l’a porté humainement, c’est-à-dire pauvrement. Les paroles qu’il prononce sur le Golgotha en témoignent, précise le pape : « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? » Parce que le poids de toutes les fautes humaines et de toute la souffrance repose sur lui, le Christ « perçoit d’une façon humainement inexprimable la souffrance qu’est la séparation, le rejet du Père, la rupture avec Dieu ». Mais justement, c’est là que s’opère le grand retournement : c’est par la souffrance que le Christ opère la Rédemption pour tous les hommes. Le Christ a alors élevé « la souffrance humaine jusqu’à lui donner valeur de Rédemption ». Jean-Paul II livre ensuite la clé du mystère : « Tout homme peut donc, dans sa souffrance, participer à la souffrance rédemptrice du Christ ». Et il ne faut jamais oublier, poursuit-il, que « l’éloquence de la Croix et de la mort » est complétée par « l’éloquence de la Résurrection ». En elle, l’homme peut trouver une lumière nouvelle « qui l’aide à se frayer un chemin à travers les ténèbres épaisses des humiliations, des doutes, du désespoir et de la persécution ». Le pape continue en citant saint Paul : « Je suis crucifié avec le Christ ; et ce n’est plus moi qui vis, mais le Christ qui vit en moi. Ma vie présente dans la chair, je la vis dans la foi au Fils de Dieu qui m’a aimé et s’est livré pour moi »(Gal). Par la Croix, le Christ devient ainsi uni à l’homme d’une manière toute particulière, ce qui fit dire à saint Paul : « Pour moi, que jamais je ne me glorifie sinon dans la Croix de notre Seigneur Jésus-Christ, qui a fait du monde un crucifié pour moi et de moi un crucifié pour le monde ». Par la foi, la souffrance humaine peut être rejointe par la Croix et la Résurrection du Christ. « Ne savez-vous pas que vos corps sont des membres du Christ ? » L’Evangile met en relief une vérité : le caractère créateur de la souffrance. Car la souffrance du Christ a crée un bien indépassable et infini : la Rédemption du monde. Et si aucun homme ne peut lui ajouter quoi que ce soit précise Jean-Paul II, « dans le mystère de l’Eglise qui est son corps, le Christ (...) a ouvert sa souffrance rédemptrice à toute souffrance de l’homme ». L’idée d’appartenance au « corps du Christ » et de solidarité entre tous ses membres est donc fondamentale. « Dans la mesure où l’homme devient participant des souffrances du Christ - en quelque lieu du monde et à quelque moment de l’histoire que ce soit - , il complète à sa façon la souffrance par laquelle le Christ a opéré la Rédemption du monde ». La Rédemption accomplie par le Christ serait-elle incomplète, s’interroge le Saint-père ? Non, mais « la Rédemption est restée constamment ouverte à tout amour qui s’exprime dans la souffrance humaine ». Dans cette dimension d’amour, la Rédemption accomplit totalement par Jésus-Christ s’accomplit, en un sens, constamment, tous les jours.
La souffrance est donc au cœur de l’Evangile, au cœur de la Bonne Nouvelle : bonne mais parfois si difficile à entendre. L’Evangile révèle le sens et la force salvifique de la souffrance dans la mission du Christ et, ensuite, dans la mission et la vocation de l’Eglise, c’est-à-dire la mission de tous les chrétiens et des hommes de bonne volonté. Or voici que justement le pape montre le chemin, il enseigne le monde avec éloquence : « l’exemple du pape qui souffre est très important (...), souffrir est une façon spéciale de prêcher » indiquait le cardinal Joseph Ratzinger il y a quelques semaines. Dans le creuset de sa souffrance, acceptée et offerte, le Saint-père puise une eau extrêmement féconde pour l’Eglise et pour le monde. Dans la foi, il accepte de vivre son épreuve uni au Christ, de se laisser rejoindre par Lui dans son état de faiblesse. Ainsi l’évêque de Rome qui est le successeur de Pierre accomplit la mission qui lui a été confiée par le Christ : « et toi, quand tu seras revenu, affermis tes frères ». Le pape affermit ses frères dans la foi et les conduit toujours plus loin, leur montrant que s’il gouverne l’Eglise, il n’est qu’un instrument, simple et vrai « Serviteur des serviteurs de Dieu » dans les mains de la Providence. Cela, peut-on le comprendre sans la foi ? C’est justement à cet acte de foi, acte pauvre et humble de confiance, qu’appelle l’attitude du Saint-père. « Toute souffrance humaine, toute douleur, toute infirmité renferme une promesse de salut, une promesse de joie »., écrit le pape dans son dernier ouvrage (« Mémoire et identité ») avant de citer saint Paul : « Je suis heureux des souffrances que je supporte pour vous » (Col, 1, 24). Tel est l’enseignement du Pape, souvent occulté, sur le sens chrétien de la souffrance.
Il manque peut-être à l’Eglise de notre temps de ces voix véhémentes qui faisaient autrefois trembler le catholicisme bourgeois, pour réveiller notre christianisme endormi et complexé et lui redonner la conscience de la mission de Salut que doit accomplir l’Eglise dans le Christ ; de ces voix vibrantes et entraînantes, comme celle de Léon Bloy, ce mendiant qui en matière de foi, savait certainement de quoi il parlait quand il disait : « Je crois qu’un Ave Maria dit avec cœur au pied de la Croix dans l’obscurité d’un désert est un fait plus considérable par ses résultats que la bataille d’Austerlitz et que la chute de quarante empires ». Les voici, les « divisions du pape », elles avancent invisiblement dans le monde avec la Croix pour seul étendard.
Le pape est mort le 2 AVRIL 2005

CHRISTIANO RONALDO termine meilleur Buteur pour le CHAMPIONS LEAGUE






LE MANCHESTER UNITED domine LA CHELSEA (2008)

CHRISTIANO RONALDO


Il a beau avoir terminé meilleur buteur de l'UEFA Champions League et marqué son 42e but toutes compétitions confondues cette saison pour permettre au Manchester United FC de remporter la finale à Moscou, Cristiano Ronaldo n'oublie pas de partager la gloire pour une saison formidable.
Dramatique et fantastique
"La Champions League a toujours un côté dramatique et ce soir, la finale a été formidable", affirme-t-il. "Les deux équipes ont très bien joué. On a mieux joué en première période, on s'est créé plus d'occasions que Chelsea et on a marqué un bon but. On a eu l'occasion de tuer le match avec Carlos Tévez mais ce n'est pas rentré. En deuxième période, Chelsea a mieux joué et a eu quelques occasions. Ensuite les penalties, c'est une loterie." Quand on lui demande s'il était soulagé de voir Terry rater, il répond : "Un petit peu, oui".
Immense joie
Lorsque Anelka butait sur Edwin van der Sar, Ronaldo en tombait sur les genoux dans le rond central pour fêter la victoire. "J'étais stressé à ce point. J'ai ressenti une joie immense et franchement, je ne croyais pas qu'on avait gagné la Champions League", explique-t-il. "Je suis très fier. Les gars ont travaillé très dur et c'était une bonne soirée. Ils y ont tout le temps cru et ils méritent de gagner la Champions League. Cela signifie tout pour moi, j'avais hâte de remporter cette compétition. C'est ma première Champions League."
"Je me sens bien"
A Moscou, Ronaldo a inscrit son huitième but dans la compétition, soit deux de plus que n'importe quel autre joueur. Il compte ainsi 42 buts toutes compétitions confondues cette saison, une véritable source de satisfaction pour l'international portugais qui pense déjà à l'UEFA EURO 2008™. "Je suis très fier, tout va bien pour moi", dit-il. "Mes coéquipiers m'ont beaucoup aidé. J'ai gagné la Premier League et la Champions League, donc tout va bien. J'ai passé une saison magnifique et je me sens bien. C'est incroyable d'aller chercher le trophée. Nous allons bien en profiter ce soir. Nous avons une soirée et ensuite, je commencerai à penser à l'EURO. C'est une année formidable avec mon club et maintenant, je veux gagner l'EURO."

L’ABBE BOLAMPENDA n’est plus avec nous



Bonjour à tous,

Le diocèse d’Inongo à la profonde douleur de vous annoncer la mort de l’Abbe Andre BOLAMPENDA BOKESE.Décès survenus le 27 mai 08 à 9h45 suite à une crise cardiaque ; l’enterrement aura lieu Jeudi 29 mai 08 à la Cimetière des prêtres de Diocèse d’Inongo. C’est une partie d’un Bibliothèque qui s’écroule car l’abbé était fort du côté Formation des jeunes et étudiants. L’abbé BOLAMPENDA aimait beaucoup de se présenter avec les jeunes dans la prière. Il venait de faire sa dernière messe le DIMANCHE 25 Mai ; l’abbé est mort suite à une maladie appelée diabète. Prions pour que le bon Dieu, maître de la terre récupère son âme.