mardi 16 décembre 2008

CRIME CONTRE LA NATION CONGOLAISE 200...





Laurent Nkunda, né le 2 février 1967, dont le vrai nom est Nkunda Mihigo, est un officier rebelle tutsi de l'armée de la République démocratique du Congo.
Biographie [modifier]
1994-2002 [modifier]
Durant le génocide rwandais en 1994, Nkunda, ancien étudiant en psychologie, est présent au Rwanda où il est formé par le Front patriotique rwandais (FPR)[réf. nécessaire], ex-rébellion rwandaise dirigée par le général Paul Kagame, aujourd’hui président du Rwanda, et James Kabarebe, chef de l'armée rwandaise.
Il a été membre du Rassemblement congolais pour la démocratie (RCD)[réf. nécessaire], localisé à partir de 1998 dans l'est de la République démocratique du Congo.
Il s'illustre durant la Deuxième guerre du Congo lors des massacres à Kisangani en août 2002[réf. nécessaire] et a été largement soutenus par le Rwanda au cours des dernières années.
2003-2006 : Gouvernement de Transition 1+4 [modifier]
Nkunda est responsable, avec le colonel Mutebesi, de nombreuses actions militaro-politiques après l'instauration en 2003 du Gouvernement de transition :
• Attaque de Bukavu en juin 2004,
• Appel à la désertion aux soldats appartenant à l’ancien RCD-Goma intégré dans l’armée nationale au Nord Kivu en août 2005,
• attaques de plusieurs villes dans le territoire de Rutshuru, dans la province du Nord-Kivu, en janvier 2006.
Un Mandat d'arrêt international a été lancé contre lui en septembre 2005. Il est accusé d'être responsable de nombreux crimes de guerre et crimes contre l'humanité (massacres, actes de torture, viols)1, accusations qu'il réfute point par point2. Il refuse toutefois de rejoindre l’État-major intégré de l’armée nationale congolaise.
2006 : Élections [modifier]
Nkunda tente de déstabiliser l'Est de la RDC lors de l'Élection présidentielle congolaise de juillet 2006 et à la fin de l'année3.
En décembre 2006, le Burundi l'accuse, ainsi que James Kabarebe et Salim Saleh, d'avoir fomenté une tentative de coup d’État au Burundi en décembre 20064.
2007 [modifier]
Début janvier 2007, Nkunda accuse le chef militaire français de la MONUC, Christian Houdet, de soutenir les FDLR (ex-génocidaires rwandais) puisqu'il refuse de les désarmer5.
Le 18 janvier 2007, il annonçe que ses hommes ont commencé à rejoindre les rangs de l'armée gouvernementale de RDC6 à la suite de négociations menées à Kigali, au Rwanda. Néanmoins, la première moitié de 2007 se caractérise par de nombreux combats à l'est7,8,9,10 forçant des dizaines de milliers de civils à prendre la fuite. Laurent Nkunda accepte finalement de "brasser" ses troupes avec les troupes gouvernementales11,12,13.
Les accusations d’occupation de l’est de la RDC14,15, 16, de pillages de ses ressources17,18 et de tentative de déstabilisation du Gouvernement de la République démocratique du Congo s’amplifient de plus en plus durant la première moitié de 200719,20.
La tension monte encore d’un cran en mai 2007 lorsque Nkunda menace de retirer ses soldats des rangs de l'armée nationale, lorsque la MONUC dénonce publiquement la présence de troupes rwandaises et ougandaises en RDC21,22,23, lorsque des dissensions apparaissent entre Joseph Kabila et son état-major 24 et lorsque Louise Arbour, Haut commissaire des Nations unies aux droits de l’homme, préconise un inventaire des crimes graves commis de 1993 à 2003 en RDC25.
Début décembre 2007, une très importante offensive gouvernementale encadrée par la MONUC est lancée contre Nkunda à Mushake et contre son fief26,27,28,29. Elle se solde en une dizaine de jours par une sévère déroute et des milliers de morts dans les rangs des troupes gouvernementales30,31. La MONUC a été accusée d'avoir fait défaut aux troupes gouvernementales32,33.
Le colonel indien Chand Saroha a commandé pendant la période sensible fin 2007-début 2008 l'unité des casques bleus déployée à Sake, verrou stratégique situé à 30 km de la capitale provinciale Goma. Sake était défendue par les Casques bleus et marquait la frontière entre les positions du CNDP (Congrès national pour la défense du peuple) de Nkunda et celles de l'armée régulière congolaise, à laquelle l'ONU apportait un appui logistique34.
2008 [modifier]
En juin 2008, les accusations contre Nkunda de recrutement d'enfants-soldats reprennent35.
L'ONU ouvre le 10 juillet 2008 une enquête sur les déclarations de mi-avril 2008 du colonel indien Chand Saroha (ex-commandant au Nord-Kivu) tenus peu avant son retour en Inde lors d'une cérémonie d'adieu en présence de Nkunda et de son état-major 36,37,38,39 durant laquelle il qualifie Nkunda de « frère » qui « combat pour une noble cause » et qui est « prêt au sacrifice » à l'instar des « vrais révolutionnaires »39. Saroha a décoré Laurent Nkunda d'une « médaille d'honneur ». En réponse, Nkunda le remercie pour son amitié et son soutien, déclarant carrément : « Tu nous a énormément aidés39 ». Or, en décembre 2007, le colonel Saroha était présent au quartier général de campagne de l'armée congolaise, près de Sake. L'armée venait de lancer une offensive contre le CNDP qui s'est soldée par un cuisant échec au bout d'une semaine d'intenses combats. Saroha est accusé de ne pas avoir appuyé comme convenu l'offensive gouvernementale et d'avoir livré des informations à Nkunda[réf. nécessaire]. La Monuc a qualifié la démarche de son officier d'« inacceptable » et « contraire au mandat de l'ONU », tout en soulignant qu'elle a « été menée totalement à l'insu de son commandement39 ». Cette affaire a relancé une enquête déjà ouverte par le BSCI de l'ONU au Nord-Kivu. Dans un rapport confidentiel de février 2008, le BSCI fait état d'allégations « très sérieuses » selon lesquelles « des membres du bataillon indien (de la Monuc) fournissaient de la nourriture, des munitions et de l'information au général Laurent Nkunda »39.
Le 26 août 2008, Laurent Nkunda lance une nouvelle offensive qui lui permet d'agrandir la zone qu'il contrôle dans le Nord-Kivu et d'amener ses troupes à quelques kilomètres de Goma à fin octobre. L'armée congolaise ayant abandonné la ville, la Monuc n'a pas pu lancer de contre-offensive : son mandat est d'appuyer les autorités officielles congolaises dans leurs efforts pour rétablir leur contrôle sur le territoire national, mais pas de contrer une opération rebelle en soi. Nkunda a cependant renoncé à prendre la ville et a déclaré le 29 octobre un cessez-le-feu unilatéral puis demandé l'ouverture de négociations à Kinshasa.
Selon certains observateurs, l'offensive de Laurent Nkunda coïncide avec la signature entre le Congo et la Chine de contrats d'exploitation de minerais40.
En octobre 2008 Nkunda a expliqué, dans un entretien en anglais avec RFI qu'une prise de la ville de Goma (Nord-Kivu) n'était pas un objectif et qu'il cherchait à entrer en pourparlers avec Kinshasa.

LA VIE DE BARACK OBAMA ( GLODY LOMATA)





Barack Obama, né Barack Hussein Obama II[1] le 4 août 1961 à Honolulu, Hawaii, est le président élu des États-Unis d'Amérique.

Diplômé de l'Université Columbia et de la Faculté de droit de Harvard, homme politique américain, sénateur démocrate de l'Illinois au Sénat des États-Unis entre le 4 janvier 2005 et le 16 novembre 2008[2], Barack Obama s'est assuré le 4 novembre 2008, la victoire pour l'élection au poste de président des États-Unis, en remportant face au républicain John McCain, une large majorité de grands électeurs : 365 à 173[3] (53% à 46% au niveau du vote populaire[4]). Son élection a été validée par ces derniers le 15 décembre 2008. Les 50 collèges électoraux ont jusqu'au 24 décembre pour délivrer le résultat de leur vote aux autorités fédérales, et le Congrès doit certifier le résultat le 8 janvier 2009[5]. Barack Obama entrera en fonction le 20 janvier 2009, devenant alors le 44e président des États-Unis et le premier afro-américain[6] à accéder à la Maison Blanche.

samedi 25 octobre 2008

RENTREE SCOLAIRE 2008-2009


La rentrée scolaire 2008-2009 confirmée au 1er septembre 2008
Kinshasa, 30/08/2008 / Société
Le ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et professionnel (EPSP), Maker Mwangu a confirmé jeudi, à Kinshasa, la rentrée scolaire “ 2008-2009 ” sur toute l’étendue du territoire national qui reste fixée au lundi 1er septembre 2008. Le ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et professionnel (EPSP), Maker Mwangu, a confirmé jeudi, à Kinshasa, la rentrée scolaire “ 2008-2009 ” sur toute l’étendue du territoire national qui reste fixée au lundi 1er septembre 2008. Le ministre Maker a donné cette confirmation à l’occasion de la remise aux gouverneurs de provinces, présents à Kinshasa, de kits de fournitures scolaires destinées aux élèves de première année d’école primaire de toute la République.

C’est à l’initiative de l’épouse du Président de la République, Olive Lembe Kabila, que près de 2.500 tonnes de craies, de cartables, de lattes, d’ardoise ont été mises à la disposition d’élèves congolais dont une représentante a remercié en des mots pleins d’émotion la première dame du pays et le Chef de l’Etat qui a fait de l’éducation un des piliers des cinq chantiers de la République.

Au cours de cette cérémonie qui s’est déroulée à l’Institut technique industriel de la Gombe sous la direction du ministre d’Etat à l’Intérieur, à la décentralisation et à la sécurité, Denis Kalume Numbi, le ministre de l’EPSP a précisé en outre que les frais scolaires, outre le minerval et l’assurance, seront fixés par les gouverneurs de province. “ C’est une option de décentralisation dans leur fixation ”, a-t-il dit.

Une année pédagogique

M. Maker Mwangu a rappelé, dans ce même cadre, que l’année scolaire “ 2008-2009 ” sera essentiellement pédagogique, tandis que le programme du gouvernement sera axé sur l’accroissement de l’accessibilité à la scolarité des enfants congolais, “ un impératif catégorique pour l’UNICEF et l’UNESCO ”. “ Au regard du volume de l’accroissement, on tendra vers la suppression des frais scolaires pour le primaire ”, a-t-il souligné.

La valorisation de la fonction enseignante

M. Maker Mwangu a, par ailleurs, annoncé qu’à l’initiative de Mme Olive Lembe Kabila, son ministère mettra à la disposition des enseignants un kit de matériel didactique en vue de restaurer la fonction enseignante. L’octroi d’un prix au meilleur enseignant et la médaille de mérite civique sera décernée à ce dernier. Onze motos ont été également remises aux responsables de l’EPSP en provinces. Tous les gouverneurs de provinces qui ont reçu des mains des membres du gouvernement, de façon symbolique, des kits de fournitures scolaires ont rappelé l’importance de l’éducation, avant de lancer des appels à la reprise des cours à l’EPSP le 1er septembre 2008. Auparavant, les gouverneurs de provinces avaient visité le Centre de correction de l’examen d’Etat.

Pour la réhabilitation de l’Ecole normale Saint Luc de Tshilundu au Kasaï Oriental

Dans le contexte de cette rentrée scolaire, le président du comité directeur de l’Association des anciens élèves de l’Ecole normale Saint Luc de Tshilundu (ANOTSHI) au Kasaï Oriental, Joseph Kalala Ntumba, plaide pour la réhabilitation de cette école et des autres établissements scolaires environnant celle qui se trouve dans un état de délabrement très avancé.

M. Kalala a indiqué que la réhabilitation de cette école est une des actions prioritaires du comité directeur de l’ANOTSHI, parmi d’autres, notamment l’octroi d’un siège à l’association à Kinshasa, l’achat de mobiliers et l’obtention d’un espace pour l’élevage de la volaille et la culture de maïs et de manioc dans le cadre de l’autosuffisance alimentaire.

Pour la réussite de ces projets, il a lancé un appel aux membres de son comité, à ceux d’honneur et à des personnes de bonne volonté d’apporter leur contribution à cette école, la seule, au niveau supérieur, existant dans le territoire de Miabi, au Kasaï Oriental, et qui a formé plusieurs personnalités dans la vie nationale.
Le président de l’ANOTSHI a appelé aux membres à être unis, à renforcer la solidarité et à revaloriser l’association.

Un arrêté pour recenser les enseignants

Les trois ministres de la Fonction publique Laurent Simon Ikenge, de l’Enseignement primaire secondaire et profession¬nel (Epsp) Maker Mwangu Famba et du Plan Olivier Kamitatu ont signé mercredi un arrêté interministériel “ por¬tent création, organisation et fonctionnement de la Commission chargée du recensement des enseignants de l’E.P.S.P. et de l’élaboration de la carte scolaire ”. Cette cérémonie s’est déroulée dans la nouvelle salle de réunion Mulumba Lukoji ” au ministère du Plan, dans la commune de la Gombe.

Prenant la parole, le mi¬nistre de la Fonction publi¬que a souligné l’intérêt qu’il attache à la question de la maîtrise des effectifs. Ob¬jectif : constituer une fois pour toute le fichier unique tant attendu. Il a signalé que le recensement biométrique avait commencé depuis trois jours en dehors de la capitale par Kasangulu dans le Bas-Congo. Il a es¬péré que la coordination en¬tre les deux operations sera facile pour ne pas donner l’impression d’un dysfonc¬tionnement.

3,5 millions de Usd

Pour Maker Mwangu, la cérémonie a une grande signification. Cette opéra¬tion, a-t-il précisé, à deux aspects : le recensement des enseignants et l’élabo¬ration de la carte scolaire. Le recensement des ensei¬gnants va au-delà de la maî¬trise des effectifs. Il permet d’avoir une idée exacte non seulement sur le nombre d’enseignants, mais aussi et surtout sur les aspects qualitatifs de cet effectif. Il permet aussi de planifier la formation initiale et la for¬mation continue des ensei¬gnants afin d’améliorer la qualité de l’enseignement.

Pour le ministre de l’Epsp, la carte scolaire est un ins¬trument privilégié de planifi¬cation pour atteindre les ob¬jectifs de l’Education pour tous et du Millénaire pour le Développement dont l’ob¬jectif principal est d’assurer l’enseignement primaire universel à l’horizon 2015. Enfin, le ministre du Plan a indiqué que ce projet est une nécessité pour le gouvernement en vue d’amélio¬rer la gestion du Système éducatif national par la mise en place des mécanismes de gestion des finances pu¬bliques.

Et la carte scolaire permettra la planification et la rationalisation de l’im¬plantation des infrastruc¬tures scolaires à travers le territoire national. Projets à réaliser d’ici le mois de décembre 2008 dans le cadre du Programme d’Ac¬tions Prioritaires du Gou¬vernement pour le secteur de l’Education. Son budget prévisionnel est d’environ 3,5 millions de Usd.

mardi 8 juillet 2008

La Joie d'être ensemble

 

 

 
Dans ces images, je suis avec mes élèves de l'Institut TOSALISANA (INTOSA), à INONGO, à quelques heures des examens de la 2ème Session.
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mardi 1 juillet 2008

KAKA ET RONALDINHO


LIGA - RONALDINHO est-il fini ?



Footballeur de génie, Ronaldinho n'est pourtant plus désiré au FC Barcelone qui souhaite le vendre au plus vite. Seul souci : le Brésilien n'est pas très demandé. Et seul Manchester City semble prêt à l'accueillir. Car le Ballon d'Or 2005 paye ses frasques extra sportives. Ronaldinho n'est pas successeur de Zidane en âge et non en tactique, mais on reconnait quand même PELE.
Et si le talent ne faisait pas tout... Il devait être le digne successeur de Pelé. Il devait être le nouveau dieu des stades, l'idole des foules, l'exemple à suivre pour tous les gamins des favelas. Finalement, Ronaldinho a pris une autre direction. Celle déjà suivie il y a quelques décennies par George Best. Des trajectoires qui laissent des regrets éternels aux amoureux du ballon rond. Aujourd'hui, le meilleur joueur du monde il y a peu, devenu indésirable au FC Barcelone, ne sait pas de quoi son avenir sera fait.

Depuis plusieurs semaines, le Barça ne cesse de répéter son envie de se débarrasser de lui. "Quand les cycles se terminent, il est normal que les personnes les plus emblématiques partent, a lancé Joan Laporta le président catalan. J'aimerais beaucoup que Ronaldinho s'en aille comme Frank Rijkaard et qu'on se souvienne de l'homme qui nous a donné deux Ligas et une Ligue des Champions." Le message est clair. Ronnie est sur le marché. Et pourtant, les offres ne se bousculent pas.

City seul en piste

Pire encore, les clubs intéressés se retirent les uns après les autres. Chelsea, qui lui avait fait un pont d'or la saison passée, n'en parle même plus. L'Inter a vite balayé l'hypothèse. Et le Milan AC, l'un des seuls clubs prestigieux à s'être sérieusement penché sur son cas, a fait volte-face. "J'ai toujours eu des doutes sur le fait que Ronaldinho nous soit utile. Aujourd'hui, je pense vraiment que nous n'en avons pas besoin", a déclaré début mai Silvio Berlusconi alors qu'un accord de principe avait été trouvé mi-avril avec le joueur. Une claque monumentale pour Ronaldinho.

Désireux de se débarrasser de son crack brésilien par tous les moyens, Laporta en est même arrivé à faire des concessions en proposant un "pack" Ronaldinho- Zambrotta au Milan selon Sport. Mais le club lombard préférait Samuel Eto'o... En fait, la seule piste sérieuse serait désormais Manchester City, un club de seconde zone par rapport à Milan dont le statut colle peu au potentiel du Brésilien. Mais voilà, Ronnie ne peux plus faire la fine bouche et le Thaïlandais Thaksin Shinawatra, richissime président des Citizen et ancien Premier ministre de son pays, rêve de frapper fort pour faire parler de son club. Résultat, il pourrait lui proposer un salaire pharaonique (12 millions d'euros nets annuels selon L'Equipe soit trois millions de plus que ce qu'il touche au Barça). La durée du contrat ne serait toutefois que de trois ans car City a aussi des doutes quant à la capacité du Brésilien à rester au top.

Sur les traces de Best ?

Ronnie à City ! Peu auraient sûrement parié sur une telle solution. Les raisons de cette déchéance ? Le champion du monde 2002 a une hygiène de vie loin des exigences du haut niveau. Il aime sortir et cela se sait. A Paris ou à Barcelone, le numéro 10 a toujours aimé l'ambiance des boites de nuit. Ses fêtes à répétition, ses retards à l'entraînement, ses blessures véridiques ou diplomatiques sont impossibles à gérer pour un entraîneur souhaitant faire respecter un certain régime à son groupe. Luis Fernandez pourrait en témoigner... Même son corps ne semble plus suivre le rythme. Le journal gratuit espagnol ADN le donnait récemment comme très mal en point physiquement.

Devant un tel constat, on a un petit sentiment de gâchis. Bien sûr, Ronnie a déjà tout gagné. A seulement 28 ans, le natif de Porto Alegre possède déjà une Coupe du monde (2002), une Copa America (1999), une Ligue des Champions (2006), deux championnats d'Espagne (2005, 2006) à son palmarès. Et même un Ballon d'or (2005). De quoi faire rougir beaucoup de joueurs. Mais Ronnie semble être à un tournant de sa carrière avec des perspectives loin d'être réjouissantes. On craint même une fin à la George Best. Après avoir quitté Manchester United à 27 ans à la suite de saisons marquées par ses abus, le "Cinquième Beatle" n'a plus été que l'ombre de lui-même dans des clubs de second rang. "Ronnie sait ce qu'il doit faire pour revenir. Tout dépend de lui pour qu'il redevienne le meilleur footballeur du monde", prévient néanmoins Edmilson, son coéquipier au Barça. Mais le talent ne fait pas tout...

vendredi 27 juin 2008

PLAGE au MAI NDOMBE



La géomorphologie définit une plage comme une « accumulation sur le bord de mer ou lac de matériaux d'une taille allant des sables fins aux blocs ». La plage ne se limite donc pas aux étendues de sable fin ; on trouve également des plages de galets et, dans les cas des blocs les plus gros, des plages appelées beachrock.

On a tendance à restreindre la plage à l'estran, mais elle comprend aussi l'avant-plage (aussi appelée avant-côte et où l'on trouve les avant-dunes, appelées « dunes » par les vacanciers), qui fait partie de la zone infra-littorale. Quoiqu'il en soit, les plages s'orientent perpendiculairement à la houle dominante.

Les plages de sable fin sont les plus appréciées des vacanciers. On peut distinguer les sables « blancs » d'origine organique (restes squelettes et autres coquilles, calcaires ou siliceux) des sables « noirs » d'origine minérale ou volcanique. La distinction ne doit cependant pas se faire uniquement sur la couleur, des sables d'origine organiques pouvant apparaître noirs s’ils sont chargés en matières organiques, et des sables d'origine minérale pouvant être clairs, selon le type de roche qui leur a donné naissance.

Voici Herve assis sur la plage du lac MAI NDOMBE en RDC, pour dire que la RDC remplit certaines solutions de la vie. Et il y’a beaucoup de plages en RDC...

glodylomata007@yahoo.fr

LA PARITE ENTRE L’HOMME ET LA FEMME



La parité est un concept d'égalité d'état ou d'équivalence fonctionnelle. Ce concept est également lié au nombre deux. On le retrouve dans plusieurs domaines :
* en mathématiques, la parité de plusieurs objets peut être étudiée :
* en arithmétique, la parité des entiers ;
* en algèbre générale, la parité des permutations ;
* en analyse, la parité des fonctions réelles ;
* en physique, la parité est une propriété de la mécanique quantique ;
* en sociologie, la parité fait référence à l'égalité des sexes ;
* pour la politique, voir vote des femmes
* en informatique, les bits de parité permettent de détecter et éventuellement de corriger des erreurs.
* en économie, on utilise les termes de parité de taux de change, et de parité de pouvoir d'achat.

Entre Homme et Femme:

La femme est soumise à des pratiques inconsevable au monde et pour lutter contre ses pratiques, il faut au moin une emancipation ou libération de la femme. La femme était considerée comme un instrument dans le pays en recule comme la RDC. Toutes fois, c'est une créature importante pour le monde et elle sont doués de travailler dans n'importe que tâche du travail.D'ou on ne peut pas degrader la femme car elle est Importance pour des nombreuses choses; pour supprimer aussi ses esprits de dégradement il faut premièrement oublier cette pensée de rejeter la faute à l'autre.

Jean Paul SATRE et Simone de BEAUVOIR (Couple dans la pensée)

Les femmes sont utiles partout telle est l’histoire de SIMONE DE BEAUVOIR : Ardente avocate de l’existentialisme théorisé par son compagnon Jean-Paul Sartre, elle soulève des questionnements afin de trouver un sens à la vie dans l’absurdité d’un monde dans lequel nous n’avons pas choisi de naître. Associée à celle de Sartre, son œuvre s’en différencie dans la mesure où elle aborde le caractère concret des problèmes, préférant une réflexion directe et ininterrompue sur le vécu.
Dans Le Deuxième Sexe, elle affirme : « On ne naît pas femme, on le devient » (repris du concept proposé par Tertullien) : c'est la construction des individualités qui impose des rôles différents, genrés, aux personnes des deux sexes. Son livre souleva un véritable tollé et son auteur fut parfois calomniée. Rares furent ceux qui lui apportèrent du soutien. " Le mariage n'est pas mon métier"
Elle reçut cependant celui de Claude Lévi-Strauss qui lui dit que du point de vue de l'anthropologie, son ouvrage était pleinement acceptable. De grands écrivains comme François Mauriac ne comprirent pas le sens polémique de son écriture précise et clinique, et furent du nombre de ses détracteurs.

Et surtout la psychologie qui prouve que il y’a le rejet partout. Comme Adam répond à dieu : « C’est la femme que vous m’avez donnée » et qu’est ce qui l’arrêter de fermer la bouche pour ne pas manger ? Ne condamnons pas seulement des femmes mais nous tous y compris nous les hommes. Tel est le cas mon frère HERVE BAMPAKA NGILA qui a condamné les femmes ou manifester d’une partie positive pour les hommes. . Elle (SIMONE) a contribué à l’histoire humaine et son nom reste gravé sur la pierre de l’Emancipation de la femme.

GLODY LOMATA parle...

jeudi 19 juin 2008

RABEMANANJARA


Jacques Rabemananjara : le quatrième mousquetaire de la négritude
(MFI) On l’appelait affectueusement « Rabé » et il était le plus grand poète de Madagascar. Retour sur l’œuvre de Jacques Rabamananjara, qui s’est éteint à Paris le 1er avril 2005, à l’âge de 91 ans, laissant derrière lui une oeuvre littéraire substantielle : poésies, pièces de théâtre, essais politiques, récits.
Considéré par beaucoup comme le quatrième mousquetaire du mouvement de la négritude, il a joué effectivement un rôle important dans les années d’après-guerre aux côtés de Césaire, Damas et Senghor, dans les manifestations culturelles (notamment la création de Présence Africaine et les deux Congrès des écrivains et des artistes noirs) qui ont présidé à la renaissance des lettres noires.
Jacques Rabemananjara fut aussi étroitement lié à la vie politique de son pays, d’abord en tant que résistant anti-colonial avant d’occuper des postes ministériels de premier plan après l’indépendance de la Grande Ile en 1960. Condamné en 1947 par le pouvoir colonial français à de longues années de prison, il a écrit l’essentiel de son oeuvre poétique pendant cette période douloureuse qui a pris fin avec la promulgation de la loi d’amnistie, le 27 mars 1956. La légende veut qu’il ait écrit les poèmes de son célèbre recueil Antsa d’une seule traite, pendant ce qu’il croyait être sa dernière nuit sur terre avant son exécution. Volume inspiré, Antsa est un hymne à la liberté et à l’île natale du poète : « Ile ! / Ile aux syllabes de flamme ! Jamais ton nom / ne fut plus cher à mon âme ! / Ile, ne fut plus doux à mon cœur ! / Ile aux syllabes de flamme, / Madagascar ! ». Comme les paroles des prisonniers étaient sévèrement contrôlées et censurées, Antsa faillit finir au feu. Le manuscrit fut sauvé in extremis et publié en 1956 avec une préface de François Mauriac dont les mots sont restés célèbres : « Ce cri que l’amour et la douleur arrachent à un fils de Madagascar, la littérature française peut le revendiquer. Cela du moins nous appartient à nous aussi, cela nous est commun : (...) la passion de la liberté. »
Après la révolution de 1972, Rabemamananjara fut obligé de quitter son « île à la face lyrique », pour s’exiler en France où il a vécu jusqu’à sa mort. Il a continué à écrire jusqu’aux années 90, publiant ses ouvrages aux éditions Présence Africaine dont il était proche. L’Académie française lui a décerné en 1988 son prestigieux prix de la Francophonie pour l’ensemble de son oeuvre.

Tirthankar Chanda


Aux éditions Présence Africaine :
* Rites millénaires, poèmes, 1955
* Lamba, poèmes, 1956
* Antsa, poèmes, 1956
* Témoignage malgache et nationalisme, essai, 1956
* Les boutriers de l’aurore, théâtre, 1957
* Nationalisme et problèmes malgaches, essai, 1958
* Antidote, poèmes, 1961
* Agape des dieux Tritiva : Une tragédie, théâtre, 1962
* Les ordalies, sonnets d’outre-temps, poèmes, 1972
* Oeuvres complètes, poésie, 1978
* Thrènes d’avant l’aurore : Madagascar, poèmes, 1985
* Rien qu’encens et filigrane, poèmes, 1987
* Le prince Razaka, récit, 1995

Chez d’autres éditeurs :
* Sur les marches du soir, poèmes, Ophrys, 1940
* Les dieux malgaches, théâtre, Ophrys, 1947

dimanche 8 juin 2008

RDC - Malawi : 1-0



De justèsse !!! RDC - Malawi : 1-0
De justèsse, c'est le mot qu'il faut employé pour qualifier la victoire cet après midi de la RD Congo face au Malawi sur le score de 1-0. But marqué à la 75' par Matumona Roum qui reprend de justèsse le pénalty manqué par Trésor Mputu.

Malgré une grosse domination les congolais ont manqué véritablement d'éfficacité et de lucidité devant les buts choses qu'il faudra absolument corriger à la prochaine sortie à Djibouti pour espérer soigner notre goal average. En effet, malgré les 3 points de cet après midi, la RD Congo reste à la 3e place devancé au même nombre de point par le Malawi qui par contre compte +6 à la différence de but contre 0 pour la RDC.
Les changements:
En deuxième période, le sélectionneur congolais a procéder à quelques changements qui sont :
Composition du 11 de départ

1.Kidiaba
6.Dikaba
5.Mabiala
18.Bokese
15.Ilunga ==> 12.Oualembo
7.Mulumbu
4.Tshiolola
10.Matumona
8.Mputu ==> 3.Bapupa
9.Mbokani
14.Nonda ==> 17.Yenga

Remplaçants
Mandanda
Mbayo
Makiadi
Bapupa
Oualembo
Yenga
Mandanda

Décevante RDC mais l'essentiel est fait : les 3 points

Alors qu'ils avaient afficher une excellente prestation contre les Pharaons d'Egypte la semaine dernière, les léopards du Congo se sont comme à leur habitute mis au niveau de leur adversaire. Capable du meilleure comme du pire, ils ont malheureusement rendu cette après midi au Stade des Martyrs de Kinshasa, une copie bien en dessous de leur niveau réel. En effet, bien qu'ayant dominer toute la rencontre, les congolais ont manqué de lucidité et d'efficacité devant les buts à l'image du capitaine Shabani Nonda et Dieumerci Mbokani qui à eux deux seuls, auraient pu porter le score à 5-0 au terme du temps réglementaire. Il aura fallu attendre la 75' pour voir l'ouverture du score des congolais grâce à Matumona Roum qui reprenait quelques minutes plus tard un pénalty manqué par Trésor Mputu... Retour sur cette deuxième journée !
Une première mi-temps correcte mais sans le moindre but !
Les congolais entamment le match timidement. Après une bonne quinzaine de minute d'observation, quelques attaques sont lancées mais sans succès. A plusieurs reprises, Shabani Nonda et Mbokani se heurtent à l'excellent gardien Malawite Valence Kamzere ou manque le dernier geste qu'il faut pour permettre aux congolais de rentrer dans les vestiaires avec un avantage. En défense, pas trop de problème pour Kidiaba qui a une nouvelle fois reçu la confiance du sélectionneur Patrice Neuveu dans les buts. Il a été durant toute la rencontre bien protégé par le duo Bokese - Mabiala dans l'axe qui on peu se le dire, ont fait un match propre et correcte en enchaînant des intervantions musclées et des tâcles intelligents. Du côté du milieu par contre le travail a été un peu plus laborieux. Mulumbu et Tshiolola au four et au moulin ont multiplié les récupérations et les relances nullement facilitées par l'état catastrophique du terrain transformé en véritable champ de patate par les derniers travaux de rénovation éffectués au stade des martyrs. De plus, bien qu'auteur d'un match correcte, le maestro des les léopards, le numéro 10 zola matumona n'a malheureusement pas eu les éclats de géni qu'on lui connait à son habitude. Résultat des courses, une première mi-temps correcte, sans le moindre but qui aurait peu être redonner un peu plus de confiance à notre 11 nationale et surtout à nos attaquants. On se souviendra d'ailleurs, que contre l'Ouganda lors des éliminatoires de la CM 2006 à kinshasa, c'est le but matinale de Shabani Nonda, bien servi par Mbala Biscotte qui avait permis par la suite, une hémorragie de but. Score finale 4-0 pour la RDC.
Au cours de cette première période, la sélection nationale s'est caractérisée par un manque criant de réalisme face au but. En effet, ce ne sont pas les occasions qui ont manqué mais plus tôt le manque d'éfficacité, de lucidité et surtout de détermination devant les buts. A plusieurs reprises nos attaquants Shabani Nonda, Mbokani et Trésor Mputu ont eu la balle de but au bout du pied sans pour autant réussir à la mettre au fond de filet. Certains supporters qui ont regardé le match en région parisienne grâce au bouquet numérique de la CRTVC ont regreté fortement l'absence de Lualua. "Ce match était un match pour Trésor Lualua. Avec sa percution et ses multiples provocations, il aurait été la clé de ce match en attirant sur lui les défenseurs permettant aux autres attaquants de se démarquer. Rappelez-vous du match contre l'Ethiopie à Kinshasa et dans une autre mesure le dernier effectué contre l'Egypte où Lualua a été de loin, le meilleur au niveau offensif..." nous confiera Patrick Kalonda un fervant supporter des bleus qui ne manque jamais une occasion pour suivre les matchs des léopards.
Deuxième période : une victoire de justèsse !
A l'identique de la première période, le Malawi joue son match et donne du fil à retordre aux congolais qui voyant le temps s'égrainer et le premier but toujours pas arriver, commencent à s'impatienter. Heureusement le professionnalisme de l'ensemble des joueurs ne les plonge pas dans la précipitation... Ils continuent d'essayer à construire et d'emmener ce but qui tarde toujours à venir. Mais encore une fois, l'état du terrain et le manque de réussite des attaquants compliquent l'équation rendu encore plus difficile par la blessure d'Hérita Ilunga qui sur un choc avec un défenseur Malawite cède sa place au jeune latéral droit de Levante, le numéro 12, Christopher Oualembo. On joue la 63'. Quelques minutes plus tard, le capitaine Shabani Nonda qui a beaucoup donné sans faire preuve de réussite, est remplacé à la 68' par le jeune attaquant de Dijon, le numéro 20. Yannik Yenga... Malgré ce nouveau coup de jus donné à l'équipe, le but trade toujours à venir et nous voyons les supporters commencer à se crisper dans leurs fauteuils. Il faut attendre la 75' pour obtenir la délivrance grâce à un pénalty concédé par Trésor Mputu qui s'éffondre dans la surface après une faute du gardien Malawite. Voulant se rendre justice lui même, l'attaquant du TP mazembe de Lubumbashi prend ses responsabilités mais se heurte à l'excellent gardien Valence Kamzere qui... HEUREUSEMENT... détourne la balle directement dans les pieds de Zola Matumona qui d'un plat du pied permet au congolais de mener 1-0. Dans la foulée, le sélectionneur congolais, le français Patrice Neuveu procède à son dernier changement en sortant Trésor Mputu sous les sifflets du public mécontant de la sortie de l'enfant terrible de Lubumbashi !!! Yannick Bapupa prend sa place et le match s'achève sur ce score d'un but à zéro pour les léopards de la RD Congo.
L'essentiel est fait !!!!
L'essentiel est fait : C'est sans doute la conclusion qui colle le mieux à la rencontre de cet après midi face au Malawi. Quoi qu'il en soit... Il ne faut pas désespérer. L'equipe en pleinne reconstruction avec l'arrivée de d'un nouveau sélectionneur, de nouveaux joueurs combinés à l'expérience des anciens, a besoin du soutien de tout le monde et ceci en toutes circonstances. On ne peut arriver à de bons résultats juste en un seul coup de baguette magique. Il faut donner du temps à cette équipe. "La Côte d'Ivoir n'est pas devenue ce qu'elle est aujourd'hui du jour au lendemain...Le niveau affiché par cette même équipe en Egypte doit nous donner espoir malgré la copie rendu aujourd'hui" rajouta un autre supporters en fin de match.

L'essentiel est donc fait et le Congo a maintenant une semaine pour préparer la rencontre de Djibouti. La balle est maintenant dans le camp du staff technique et les joueurs doivent maintenant se remobiliser pour une fois que les choses sont bien faites. En effet, les supporters rencontrés aujourd'hui dans la région parisienne se félicitent de l'action du gouvernement qui cette fois-ci à mis du sien pour que toute l'équipe soit dans les meilleures conditions pour préparer ce match. D'ailleurs nous avons appris juste avant la rencontre qu'une prime spéciale a été promise aux joueurs par le Président de la République ceci afin de motiver encore plus les joueurs dans leur course vers la qualification au mondiale...Ils quittent Kinshasa ce mercredi pour Djibouti !

Enfin, pour clore ce chapitre de la deuxième journée, nous voudrions saluer, comme pour dire que leopardsfoot sait aussi reconnaître le travail bien fait, les travaux de rénovations du stade des martyrs qui affiche aujourd'hui son plus bel habit grâce à la refection du pourtour, de la tribune presse ainsi que des vestiaires qui comptent aujourd'hui des vestiaires nationaux et internationaux. Seul ombre au tableau qui ne saurait tardé à être réglé, c'est l'état de la pelouse qui espérons-le, sera amélioré pour le match retour contre Djibouti, le 28 juin prochain à Kinshasa. En attendant... Allez les léopards, allez les bleus et que Vive la RD Congo !!!!

Prochaine match RDC-DJIBOUTI

GLODY LOMATA NKUMU
glodylomata007@yahoo.fr

samedi 7 juin 2008


Attention à tous sur une arnaque de loterie coca cola, tirage au sort par mails, gain 100 000€.
Soit disant qu'il s'agit de coca cola Londres qui organise, mais les gains seraient bloqués en côte d'ivoire.
Donc frais pour justice ivoirienne et frais pour effectuer le virement des gains par la banque STANDART CHARTERED BANQUE !
Les frais doivent passer par un soit disant avocat qui s'occupe de votre dossier et transitent par la Western union!
L'avocat s'appelle maitre BILE Jean et le responsable financier chartered banque M. KOUAKOU Yves et ils sont beaucoup, mais Sandolph Boiner est celui qui veut blaguer avec ma personnalité.
Attention,cette arnaque est trés bien montée car ils vous fournissent des justificatifs de la justice, de la banque et même la carte professionnelle de l'avocat qui font plus vrai que des vrais!!!
Avis ..............

Modèles des messages des voleurs en ligne ( Lotterie COCA COLA):

A votre Aimable Attention.
Nous avons le plaisir de vous annoncez que vous etes l'un des heureux
gagnants de la promotion COCA COLA portant sur les adresses émail des
internautes.
La valeur totale en jeu est de 50.000.000 Millions Euros et votre adresse
a été tirée au sort par sélection informatique. Le tirage a été effectué la
semaine derniere par La compagnie Coca-Cola et votre émail a été sélectionné
parmi les 500 gagnants chanceux qui ont gagné la somme de 100.000 Euro par
le biais de la promotion COCA COLA COMPAGNIE.Cependant les résultats ont
étélibérés aujourd'hui et votre émail fait parti des lauréats attaché au nombre
de billet (7PUY2006) et au nombre de vote (BT : 12052006/20).
Les émail ont été sélectionné par une recherche aléatoire automatisée
avancée par notre compagnie.Cependant, aucun billet n'a été vendu mais
toutes les adresses mail ont été assignées a différents nombres de billet
pour la représentation et l'intimité.
Le procédé de choix a été suivi par le choix au niveau de notre machine
automatisée de choix de mail (TOPAZ) d'une base de donnée d'excédent 250.000
adresses mail tirées de tous continents du monde.
Cette loterie est approuvée par le conseil britannique de jeu et également
autorisée par L'association internationale des régulateurs de jeu (IAGR).
Cette loterie est le 3eme de sa sorte et nous avons l'intention de
sensibiliser le public.
En outre il faudra réclamer votre gain professionnel de 100.000 Euro qui
a été déposé a une banque indiquée.Cependant si vous etes dans l'impossibilité
d'effectuer le déplacement alors le paiement de votre gain se fera sur
présentation d'un acte judiciaire de Bénéficiaire des fonds établi sur la
requete d'un avocat et pour cela, vous devez tout simplement
prendre contact en toute urgence avec l'avocat qui a supervisé la Tombola
dont voici les coordonnées :
Maître Sandoph BOINER a l'adresse suivant :
Email : cabinet.maitre.sandophboiner@gmail.com
Linda MC KEY Directrice Des Opérations Compagnie Coca Cola. Et j'ai repondu à Mr Boiner de cette façon:

C'est avec un grand plaisir que j'ai lu votre mail que vous m'avez envoyé!
Je n'imaginais pas un jour gagner une telle somme.

Comme indiqué dans votre courrier je prends contact avec vous pour prendre possession de mes gains. De ce fait je vous serais reconnaissant de m'envoyer votre relevé d'indentité bancaire accompagné d'une autorisation de prélévement d'une somme de 100000 euros sur votre compte, ou de me faire parvenir un chèque de ce montant ou encore, si vous me faites confiance, de m'indiquer votre numéro de carte bancaire et les 3 chiffres qui se trouvent au verso de celle-ci. Merci pour ce message me prenant pour un "con", je le prends aussi pour un "con". M. Boiner



Dans l'attente de mes gains, je vous prie M.DUBOIS, d'agréer mes salutations distinguées

Autres anarques:

Des arnaques, j’en ai au moins une toutes les semaines, mais plus dans le genre privé « mon papa s’est fait tuer ou a eu un accident, donnez moi un coup de main pour récupérer la tirelire, je vous dédommagerai, et cela se passe généralement en Côte d’Ivoire.
Actuellement c’est plutôt le genre loterie Internet, mais les aboutissants sont toujours en Afrique.
A cela vous rajoutez deux à trois appels téléphoniques par jour qui vous informent, avec un accent (il y a bon banania), que vous avez encore gagné…etc….etc. Mais le plus con, c’est qu’un jour on risque de passer à côté du Jackpot à force de se méfier !!
Amicalement Claude.

Il est fort dommage que les moyens informatiques dont nous disposons puissent être utilités par des personnes malhonnêtes et prêtent à profiter de la naïveté de certaines personnes. Nous devons aussi agir en isolant des paysde l'Ouest.Dommage pour la côte d'Ivoire qui a changé des comportements chrétiens pour embrasser les comportements bizarres.

Et surtout ce genre de trafique sont purement africain (benin, côte d'ivoire), et faites attention avec des connaissances Monétaires.

mardi 27 mai 2008

JEAN PIERRE ARRETE EN BELGIQUE





Fragilisé, le MLC doit inventer l'opposition à Kabila sans Bemba
Privé de son chef charismatique Jean-Pierre Bemba, arrêté sur mandat de la Cour pénale internationale (CPI), le Mouvement de libération du Congo (MLC) doit de réorganiser rapidement s'il veut conserver la tête d'une opposition crédible en République démocratique du Congo (RDC).

"Bemba représentait l'opposant, le seul rival de taille (du président de RDC) Joseph Kabila. Si le MLC est incapable de se relever de sa décapitation, il offrira un boulevard au pouvoir", estime un observateur de la vie politique congolaise. Le premier réflexe du principal parti d'opposition du pays a été de serrer les rangs autour du chef disparu, en dénonçant l'épreuve "injuste" imposée au sénateur Bemba, arrêté samedi à Bruxelles sur mandat de la CPI.

L'ex-vice-président de RDC est poursuivi pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité, notamment des viols et actes de tortures, commis par ses hommes en Centrafrique en 2002 et 2003. Le MLC a dénoncé dès dimanche la "politisation" de la CPI, l'accusant de faire le jeu du pouvoir en retirant de l'échiquier congolais la pièce maîtresse de l'opposition.

Mais depuis des semaines, les différents groupes parlementaires d'opposition se disputent sur les termes d'un règlement intérieur, dont l'adoption est un préalable à la désignation d'un porte-parole, conformément à la loi de décembre 2007 sur le statut de l'opposition politique en RDC. "Bemba reste notre candidat au poste de porte-parole", affirme François Muamba, secrétaire général du MLC et numéro un par intérim.

L'adversaire malheureux de Kabila à la présidentielle de 2006, exilé depuis le désarmement forcé de sa garde rapprochée à Kinshasa au printemps 2007, préparait son retour. Il était était donné gagnant, le MLC se prévalant de plus de la moitié des quelque 145 députés et sénateurs d'opposition. "On sait que la donne a changé, mais le plus important est dans un premier temps d'apparaître soudés. On doit ménager les ambitieux qui voudraient vite tourner la page Bemba et les durs qui voudraient mettre le pays dans la rue", explique un cadre du MLC sous couvert d'anomymat.

Lundi, des milliers de partisans ont marché dans les rues de Mbandaka, capitale de l'Equateur (nord-ouest, fief de Bemba), pour exiger la libération de leur leader. Mardi matin, le MLC appelle à un rassemblement "pacifique" à Kinshasa, en signe de solidarité avec le chef emprisonné. A Kinshasa, le gouvernement a sobrement "pris note" de l'arrestation de l'ancien vice-président, tandis que les petits partis d'opposition, qui contestaient jusqu'alors l'hégémonie du MLC, ont adopté un ton prudent.

"C'est comme au Moyen-âge, les seigneurs se font la guerre, mais quand l'un d'entre eux est durement touché, on fait une trêve. Nous avons des questions sérieuses à régler pour organiser l'opposition, nous allons prendre le temps d'en discuter avec les amis du MLC", explique le député Gilbert Kiakwama. Au MLC, les cadres sont conscients des risques d'une guerre de succession aux accents tribalistes: "François Muamba est assez légitime, mais il est du Kasaï. José Makila est de l'Equateur (comme Bemba dont il est parent) mais il est colérique et peu diplomate", soupire déjà l'un d'eux.

Malgré leur amertume, certains jeunes militants estiment que l'arrestation de Bemba peut être une chance pour l'ex-rébellion MLC, muée en parti politique en 2003 après la fin de la dernière guerre en RDC, de tourner enfin la page de sa jeunesse. Le MLC "tourne depuis un an sans Bemba. Il survivra. Mais ceux qui (au pouvoir) sabrent le champagne feraient bien d'être prudents", estime un journaliste pro-MLC, "parce que cette histoire montre bien que personne n'est à l'abri". (belga/7sur7)

LE MENSONGE DE JEUNE "HERVE BAMPAKA"




Pour ce qui concerne les mensonges dans la jeunesse actuelle, nous constatons que ce mensonge reste sans position quel que soit dans le bien ou dans le mal. Mon ami Herve nous montre d'une façon un peu approfondie le mensonges des jeunes. Mon ami Herve a bien parlé dans son blog dece qui concerne mensonge.
Voici quelques traits qu'il a poussé

LE MENSONGE DE JEUNE



Il est vrai que nous fréquentons les milieux publics dans notre vie quotidienne, nous créons des relations les uns les autres pour qu'il y ait équilibre dans la vie. Chacun de nous est responsable de ces actes: la façon dont je me comporte à l'égard des autres et ma façon de vivre avec eux, et surtout la manière de m'adresser aux autres , pendant nos conversations.
Mentir c'est un mot qui ajoute une note négative dans la vie de tous les jours. Quand ce mot arrive à primer sur les autres vertus, c'est fond une chose que l'on doit bien voir et soigner. La vie humaine n'est plus prise au sérieux par certain,es personnes, elle est menée comme une pièce de théâtre, soit on réussit ou bien on perd grâce au mensonge.


Les mensonge s'oppose à la Vérité



Il est déplorable de découvrir que certaines personnes sont championnes du mensonge. Sans gêne ni honte, quand elles se mettent à mentir, elles ne tiennent pas compte de leur rang et se rendent ridicules même pour des banalités. De pareilles gens vivent de manière contradictoire: la vérité, c'est le mensonge et le mensonge c'est la vérité. Ici il ne s'agit pas d'évoquer le mauvais usage de téléphone car, la plus part des gens se cachent celui-ci pour pour justifier leurs mensonges.
Mais la réalité c'est que l'on est déjà un vrai menteur et le téléphone ne sert qu'à l'expression de ce qu'on est. Disons par exemple que vous êtes à la maison et quelqu'un vous donne un coup de téléphone afin de vous localiser, peut-être parce qu'il a besoin de vous rejoindre, et que vous lui dites que vous êtes au service; ce n'est pas le téléphone qui a menti; mais c'est bien vous même qui l'avait fait intentionnellement.
Le téléphone n'est qu'un instrument qui vous a aidé à exprimer votre nature mensongère. Ecoutons le défunt artiste Charles Mombaya d'heureuse mémoire dans "Allo! Téléphone". Il ne condamne pas les utilisateurs du téléphones ni les propriétaires, mais dans son aperçu général, il nous présente les bienfaits et les méfaits du téléphone. Il parle en grandes lignes des aspects positifs et négatifs du téléphone comme moyen de communication. Et il nous revient d'en faire bon usage.
Aujourd'hui, il n'est pas possible pour certaines gens de passer toute une journée sans toutefois sortir des mensonges de leur bouche. En quelque sorte, le mensonge a pris de l'ampleur au point que pour eux, il devient une fonction vitale, comparable à la respiration, et d'ailleurs, on le dit souvent: "Il ment comme il respire!" Avec toutes les bonnes manières possibles , il est normal qu'une personne , un être humain se trompe, mais pas qu'elle mente, parce que sa conscience ne le laissera pas tranquille. On peut corrompre sa conscience te mentir tout bonnement, mais sachez qu'agir tromper soi-même, car tôt ou tard, la vérité finira par se faire savoir.
Cette culture peut se transmettre aussi par la mauvaise influence des autres, dans notre entourage ou encore dans nos lieux de service. Ne dit-on pas que si vous arrivez dans un village où la danse commence par le pied gauche, il faut emboîter le pas? C'est ne pas un adage justifiant de nos mensonges, mais c'est bien souvent de cette façon que l'on tient à se défendre lorsque l'on est découvert par la suite comme étant menteur. Ainsi certains diront: "Dans notre service pour avoir une chose il faut mentir, pour avoir une permission, il faut chercher un prétexte", "dans notre école (classe) pour avoir des points et passer dans la classe supérieure, il faut mentir, tromper les professeurs", "pour justifier sa médiocrité il faut se référer à ce qui est déjà médiocre!".
Où allons-nous, quand le mensonge prend la place de la vérité dans notre vie?




Conseil


Cher jeune, papa, maman, vous ne savez pas que le mensonge est un vice? Le mensonge détruit les rapports interpersonnels, apprenez désormais à ne rien dire que la vérité, la vérité a toujours été une source de grande cordialité. Ainsi vous vivrez paisiblement non seulement avec Dieu mais aussi avec les autres et surtout avec toi-même.
Hervé Bampaka Ngila

Le sens de la souffrance de Jean-Paul II






Le sens de la souffrance de Jean-Paul II


L’HEURE DE JEAN-PAUL II
La vision d’un pape malade, souffrant et diminué suscite de nombreuses interrogations, voire des indignations. Ce qui interpelle le plus est le fait qu’il reste en fonction. Pour les uns, l’image réconforte tous les malades ; pour d’autres elle leur est une insulte. Pour les uns, le pape se donne « jusqu’au bout » ; pour les autres, il s’accroche orgueilleusement à ses fonctions. Partant de ce constat, et du fait que l’Eglise n’a pas qu’une dimension institutionnelle, juridique et humaine mais aussi, pour les catholiques, une dimension spirituelle, mystique et providentielle, il est peut-être opportun de chercher à comprendre le sens profond de ce que vit le souverain pontife - ce qu’il a librement décidé de vivre - et le sens que cela peut avoir pour l’ensemble des chrétiens et ceux que la question intéresse. Le cardinal Jean-Marie Lustiger lui-même, dans une interview accordée à RTL il y a quelques semaines, savait qu’il choquait en déclarant : « Le Pape est actuellement en train de gouverner l’Église figurez-vous ! » Comment, oui comment peut-il être en train de gouverner l’Eglise ? Pour le cardinal, c’est en faisant « ce que le Christ a dit, (...) en aimant et en offrant sa vie pour les autres ». Jean Vanier disait la même chose il y a quelques temps : « c’est maintenant que Jean-Paul II nous montre ce qu’est la papauté ». Car gouverner, dans la tradition chrétienne et européenne, c’est servir. Pour le fondateur de l’Arche : « le Pape est le bon berger qui donne sa vie, qui devient faible et qui montre ainsi comment nous devons porter notre propre faiblesse, et non pas la cacher » (Lourdes Magazine, janvier-février 2005, p. 34). Une attitude de défi dans notre société moderne ? Pour le cardinal Lustiger, l’essentiel est que Jean-Paul II « continue de remplir ce signe du Christ compatissant qui porte les souffrances du monde ». Et ces paroles de Jean Vanier dérouteront plus d’un lecteur : « Je sens qu’il enseigne plus par sa vie et sa sainteté aujourd’hui que par toutes ses encycliques ». Nous serions alors en train de vivre un des moments les plus forts du pontificat, coïncidant peut-être avec la dernière phase de la maladie du pape : comme comprendre cette « heure » de Jean-Paul II ?
Présence et définition de la souffrance
Le mieux est de puiser dans les propres écrits de l’intéressé pour entendre ce qu’il dit de la souffrance, notamment dans la lettre Salvifici doloris qui date de 1984. Le pape y développe le sens chrétien de la souffrance et sa valeur « salvifique » ou « rédemptrice ». Jargon catholique ? Peut-être... Et en voulant dire que la souffrance sauve, le pape serait-il un antique doloriste ? Cherchons plus loin. Exprimant la pensée de l’Eglise, Jean-Paul II part du constat - certes réaliste et que nul ne saurait nier - que « la souffrance semble être, et elle est, quasi inséparable de l’existence terrestre de l’homme ». Mais le christianisme proclame que l’existence est un bien : le mal qu’on y rencontre est donc un manque, une limitation, une altération. C’est ainsi que Jean-Paul II définit la souffrance. « L’homme souffre (...) en raison d’un bien auquel il ne participe pas, dont il est (...) dépossédé ou dont il s’est privé lui-même. Il souffre en particulier quand il « devrait » avoir part (...) à ce bien, et qu’il n’y a pas part ». De plus, il y a entre ceux qui souffrent une solidarité spécifique. Le pape explique que l’analogie des situations fait que les hommes qui souffrent se rendent semblables. On comprend alors le lien si fort qu’il entretient avec les malades. Le monde de la souffrance est un « appel à la communion et à la solidarité » dit-il. Le pape précise aussi qu’il est faux de dire que « toute souffrance soit une conséquence de la faute et ait un caractère de punition » et, à l’appui de sa démonstration, il invoque la figure biblique de Job. La souffrance, malgré tout, doit servir à la conversion, c’est-à-dire à la reconstruction du bien en l’homme, qui peut reconnaître la miséricorde divine dans cet appel à la pénitence. Celle-ci a pour but de triompher du mal, qui existe à l’état latent dans l’homme sous diverses formes, et de consolider le bien tant dans le sujet lui-même que dans ses rapports avec les autres et surtout avec Dieu. Le pape présente ensuite la place particulière du Christ dans cette problématique.
Souffrance et Rédemption
Le Christ s’est fait proche du monde de la souffrance humaine en prenant sur lui-même cette souffrance. Il ne l’a pas porté comme un héros antique, non, il l’a porté humainement, c’est-à-dire pauvrement. Les paroles qu’il prononce sur le Golgotha en témoignent, précise le pape : « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? » Parce que le poids de toutes les fautes humaines et de toute la souffrance repose sur lui, le Christ « perçoit d’une façon humainement inexprimable la souffrance qu’est la séparation, le rejet du Père, la rupture avec Dieu ». Mais justement, c’est là que s’opère le grand retournement : c’est par la souffrance que le Christ opère la Rédemption pour tous les hommes. Le Christ a alors élevé « la souffrance humaine jusqu’à lui donner valeur de Rédemption ». Jean-Paul II livre ensuite la clé du mystère : « Tout homme peut donc, dans sa souffrance, participer à la souffrance rédemptrice du Christ ». Et il ne faut jamais oublier, poursuit-il, que « l’éloquence de la Croix et de la mort » est complétée par « l’éloquence de la Résurrection ». En elle, l’homme peut trouver une lumière nouvelle « qui l’aide à se frayer un chemin à travers les ténèbres épaisses des humiliations, des doutes, du désespoir et de la persécution ». Le pape continue en citant saint Paul : « Je suis crucifié avec le Christ ; et ce n’est plus moi qui vis, mais le Christ qui vit en moi. Ma vie présente dans la chair, je la vis dans la foi au Fils de Dieu qui m’a aimé et s’est livré pour moi »(Gal). Par la Croix, le Christ devient ainsi uni à l’homme d’une manière toute particulière, ce qui fit dire à saint Paul : « Pour moi, que jamais je ne me glorifie sinon dans la Croix de notre Seigneur Jésus-Christ, qui a fait du monde un crucifié pour moi et de moi un crucifié pour le monde ». Par la foi, la souffrance humaine peut être rejointe par la Croix et la Résurrection du Christ. « Ne savez-vous pas que vos corps sont des membres du Christ ? » L’Evangile met en relief une vérité : le caractère créateur de la souffrance. Car la souffrance du Christ a crée un bien indépassable et infini : la Rédemption du monde. Et si aucun homme ne peut lui ajouter quoi que ce soit précise Jean-Paul II, « dans le mystère de l’Eglise qui est son corps, le Christ (...) a ouvert sa souffrance rédemptrice à toute souffrance de l’homme ». L’idée d’appartenance au « corps du Christ » et de solidarité entre tous ses membres est donc fondamentale. « Dans la mesure où l’homme devient participant des souffrances du Christ - en quelque lieu du monde et à quelque moment de l’histoire que ce soit - , il complète à sa façon la souffrance par laquelle le Christ a opéré la Rédemption du monde ». La Rédemption accomplie par le Christ serait-elle incomplète, s’interroge le Saint-père ? Non, mais « la Rédemption est restée constamment ouverte à tout amour qui s’exprime dans la souffrance humaine ». Dans cette dimension d’amour, la Rédemption accomplit totalement par Jésus-Christ s’accomplit, en un sens, constamment, tous les jours.
La souffrance est donc au cœur de l’Evangile, au cœur de la Bonne Nouvelle : bonne mais parfois si difficile à entendre. L’Evangile révèle le sens et la force salvifique de la souffrance dans la mission du Christ et, ensuite, dans la mission et la vocation de l’Eglise, c’est-à-dire la mission de tous les chrétiens et des hommes de bonne volonté. Or voici que justement le pape montre le chemin, il enseigne le monde avec éloquence : « l’exemple du pape qui souffre est très important (...), souffrir est une façon spéciale de prêcher » indiquait le cardinal Joseph Ratzinger il y a quelques semaines. Dans le creuset de sa souffrance, acceptée et offerte, le Saint-père puise une eau extrêmement féconde pour l’Eglise et pour le monde. Dans la foi, il accepte de vivre son épreuve uni au Christ, de se laisser rejoindre par Lui dans son état de faiblesse. Ainsi l’évêque de Rome qui est le successeur de Pierre accomplit la mission qui lui a été confiée par le Christ : « et toi, quand tu seras revenu, affermis tes frères ». Le pape affermit ses frères dans la foi et les conduit toujours plus loin, leur montrant que s’il gouverne l’Eglise, il n’est qu’un instrument, simple et vrai « Serviteur des serviteurs de Dieu » dans les mains de la Providence. Cela, peut-on le comprendre sans la foi ? C’est justement à cet acte de foi, acte pauvre et humble de confiance, qu’appelle l’attitude du Saint-père. « Toute souffrance humaine, toute douleur, toute infirmité renferme une promesse de salut, une promesse de joie »., écrit le pape dans son dernier ouvrage (« Mémoire et identité ») avant de citer saint Paul : « Je suis heureux des souffrances que je supporte pour vous » (Col, 1, 24). Tel est l’enseignement du Pape, souvent occulté, sur le sens chrétien de la souffrance.
Il manque peut-être à l’Eglise de notre temps de ces voix véhémentes qui faisaient autrefois trembler le catholicisme bourgeois, pour réveiller notre christianisme endormi et complexé et lui redonner la conscience de la mission de Salut que doit accomplir l’Eglise dans le Christ ; de ces voix vibrantes et entraînantes, comme celle de Léon Bloy, ce mendiant qui en matière de foi, savait certainement de quoi il parlait quand il disait : « Je crois qu’un Ave Maria dit avec cœur au pied de la Croix dans l’obscurité d’un désert est un fait plus considérable par ses résultats que la bataille d’Austerlitz et que la chute de quarante empires ». Les voici, les « divisions du pape », elles avancent invisiblement dans le monde avec la Croix pour seul étendard.
Le pape est mort le 2 AVRIL 2005

CHRISTIANO RONALDO termine meilleur Buteur pour le CHAMPIONS LEAGUE






LE MANCHESTER UNITED domine LA CHELSEA (2008)

CHRISTIANO RONALDO


Il a beau avoir terminé meilleur buteur de l'UEFA Champions League et marqué son 42e but toutes compétitions confondues cette saison pour permettre au Manchester United FC de remporter la finale à Moscou, Cristiano Ronaldo n'oublie pas de partager la gloire pour une saison formidable.
Dramatique et fantastique
"La Champions League a toujours un côté dramatique et ce soir, la finale a été formidable", affirme-t-il. "Les deux équipes ont très bien joué. On a mieux joué en première période, on s'est créé plus d'occasions que Chelsea et on a marqué un bon but. On a eu l'occasion de tuer le match avec Carlos Tévez mais ce n'est pas rentré. En deuxième période, Chelsea a mieux joué et a eu quelques occasions. Ensuite les penalties, c'est une loterie." Quand on lui demande s'il était soulagé de voir Terry rater, il répond : "Un petit peu, oui".
Immense joie
Lorsque Anelka butait sur Edwin van der Sar, Ronaldo en tombait sur les genoux dans le rond central pour fêter la victoire. "J'étais stressé à ce point. J'ai ressenti une joie immense et franchement, je ne croyais pas qu'on avait gagné la Champions League", explique-t-il. "Je suis très fier. Les gars ont travaillé très dur et c'était une bonne soirée. Ils y ont tout le temps cru et ils méritent de gagner la Champions League. Cela signifie tout pour moi, j'avais hâte de remporter cette compétition. C'est ma première Champions League."
"Je me sens bien"
A Moscou, Ronaldo a inscrit son huitième but dans la compétition, soit deux de plus que n'importe quel autre joueur. Il compte ainsi 42 buts toutes compétitions confondues cette saison, une véritable source de satisfaction pour l'international portugais qui pense déjà à l'UEFA EURO 2008™. "Je suis très fier, tout va bien pour moi", dit-il. "Mes coéquipiers m'ont beaucoup aidé. J'ai gagné la Premier League et la Champions League, donc tout va bien. J'ai passé une saison magnifique et je me sens bien. C'est incroyable d'aller chercher le trophée. Nous allons bien en profiter ce soir. Nous avons une soirée et ensuite, je commencerai à penser à l'EURO. C'est une année formidable avec mon club et maintenant, je veux gagner l'EURO."

L’ABBE BOLAMPENDA n’est plus avec nous



Bonjour à tous,

Le diocèse d’Inongo à la profonde douleur de vous annoncer la mort de l’Abbe Andre BOLAMPENDA BOKESE.Décès survenus le 27 mai 08 à 9h45 suite à une crise cardiaque ; l’enterrement aura lieu Jeudi 29 mai 08 à la Cimetière des prêtres de Diocèse d’Inongo. C’est une partie d’un Bibliothèque qui s’écroule car l’abbé était fort du côté Formation des jeunes et étudiants. L’abbé BOLAMPENDA aimait beaucoup de se présenter avec les jeunes dans la prière. Il venait de faire sa dernière messe le DIMANCHE 25 Mai ; l’abbé est mort suite à une maladie appelée diabète. Prions pour que le bon Dieu, maître de la terre récupère son âme.

lundi 26 mai 2008

SOUVENIR DE MA MÈRE


Hommage à TYTY BAYOKO (13.7.1960 au 24.01.2002)


Ma Mère m’a quittée il y a 6 ans. C’est un grand jour pour moi de la remercier car elle a beaucoup souffert pour ma vie.La douleur et la tristesse sont maintenant choses du passé. Il ne reste qu'une foule de bons souvenirs. Et une peine douce, sous forme d'ennui. Comme on s'ennuie tant d'un être cher qu’on n’a pas vu depuis longtemps. J'aimerai tant seulement aller faire une visite avec lui et parler de tout et de rien. Surtout l'écouter. Qu'il me chante ses chansons religieuses. Et entendre son rire éclater si fort.

GLODY LOMATA et HERVE BAMPAKA


GLODY LOMATA et HERVE BAMPAKA, sont le deux amis inséparables d’Inongo.
Ce sont tous deux des kinois branchés dans le bien, pas dans le mal. Ils sont pour réfléchir en adulte et non perdre leurs temps aux plaisirs mondains. Lors d’un dialogue hier soir Herve dit : Mon cher Glody, comment compares tu notre mentalité par rapport aux autres garçons ?
Je réponds par : On ne peut tout de même pas embrasser les ridicules.
C’est un exemple à suivre concernant l’amitié, on doit bien chercher son ami…

samedi 24 mai 2008





Comment expliquer?



Nous devons tout faire pour lutter contre ses problèmes des transports et quels sont les importances de nos bus dans de cas pareils। Notre gouvernement doit tout faire pour nous faire sortir dans des situations critiques। Est ce que nous changerons avec ce gouvernement?


Pour restaurer un système de transport inexistant en RDC depuis une dizaine d’années, l’Etat Congolais a levé l’option de créer une nouvelle société de transport dénommée STUC sarl. Cette société, pour la pérennisation de ses activités, devrait avoir une gestion rigoureuse de type privé. C’est ainsi कुए le Gouvernement décidera de créer une société par actions à responsabilité limitée. Au vu de l’expérience et de l’expertise, l’Etat Congolais désignera en la date du 9 août 2004 Monsieur Charles LUTUTA ILONGOSI Mandataire Spécial de l’Etat avec pour mission principale de rechercher divers partenaires nationaux et internationaux afin de mettre en place une nouvelle société de transport en commun dénommée « STUC sarl ». Ce Mandat n’impliquait aucune charge financière à l’égard de l’Etat Congolais.






C’est en 1984 que M. LUTUTA fit son entrée à la Société de Transport Zaïrois (SOTRAZ) en tant que Conseiller financier. Avec le départ des Français et la situation financière préoccupante que traversait cette société de transport, M. LUTUTA sera désigné Directeur financier avec pour mission de relever la SOTRAZ. Utilisant son expérience et ses capacités managériales, il obtiendra un crédit de la SOFIDE pour l’acquisition de 35 bus, relancera les démarches pour l’obtention du décret présidentiel autorisant la SOTRAZ d’exister en tant que sarl – décret obtenu en 1985-, organisera une Table ronde avec l’Etat ainsi qu’une Assemblée Générale des Actionnaires qui se conclura par l’augmentation du capital de la SOTRAZ pour relancer la société. Cependant la situation catastrophique de cette société de transport, antérieure à l’arrivée de M. LUTUTA, conduira néanmoins à sa faillite.
De la mort certaine de la STUC
La crainte des Kinois selon laquelle la STUC va disparaître comme la SOTRAZ doit trouver son apaisement parce que toutes les mesures sont prises par l’équipe dirigeante en vue de résoudre l’ensemble des problèmes qui se posent : des pièces de rechange ont été commandées ; une assistance technique indienne travaillent jour et nuit avec des techniciens congolais pour la réfection et la réhabilitation du parc ; un service de dépannage organisé et adéquatement équipé se charge de la remorque des véhicules en panne ; un service de sous-traitance pour laver les bus est également opérationnel au dépôt et se charge de l’entretien de bus ; un service de tôlerie bien organisé en vue de palier au vandalisme dont fait montre une frange de passagers qui cassent des vitres, lacèrent des chaises, etc. La STUC ne mourra pas car c’est l’enfant conçu par l’Etat à travers le Mandataire Spécial M. Lututa.
De la capacité managériale du staff dirigeant de la STUC
Pour connaître la capacité de management de l’équipe dirigeante et pour casser l’idée que le poisson commence à pourrir par la tête, il est important de relever ici le cursus du PAD LUTUTA. Titulaire d’un diplôme de licence en Sciences Commerciales et Financières de l’Université Lovanium obtenu en 1970, ce dernier a débuté sa carrière professionnelle chez Good Year Zaïre en tant qu’Assistant Finance Director. Il deviendra plus tard Commissaire aux comptes à l’ex-SODIMIZA puis Délégué Général de la Société Zaïroise de Commercialisation (SOZACOM), ex-Gecamines Commerciales.
Le fonctionnement ainsi que la gestion de la STUC à l’heure actuelle est apprécié et encouragé par des partenaires extérieurs comme la Banque Mondiale (SSATP), l’Union Internationale des Transports Publics, l’Agence Française de Développement, la Banque Nationale de Développement Social du Brésil qui ont tous compris que l’ère du développement de transport en commun a commencé avec la naissance de la STUC sarl.
Du spectacle d’exposition de bus et de l’approvisionnement en carburant
Les bus de la STUC ne sont pas exposés mais se trouvent dans ses installations à Kingabwa soit en réserve ou en état de checking. A la suite de la saturation du réseau par des transporteurs informels et du mauvais état de la voirie, la STUC ne met en exploitation qu’une partie de ses bus. La STUC sarl a signé un contrat de fourniture en carburant avec Shell et Cobil pour le ravitaillement de carburant dans leurs stations service respectives en attendant l’installation (pour très bientôt) des citernes dans notre dépôt à Kingabwa. La plupart de bus STUC sont ravitaillés en carburant la nuit, mais étant donné qu’un certain nombre de bus terminent tard le service, ceux-ci sont ravitaillés le matin et servent de réserve. L’installation des citernes par la Shell est tributaire des pourparlers en cours entre la STUC et le Ministère des Infrastructures & Travaux Publics sur la délimitation de la partie réservée à STUC en vertu du contrat de location qui lie les 2 parties.


Du lancement de bus

La STUC envoie ses bus en exploitation à partir de 5heures. La sortie effective de tous les bus mis en exploitation se termine à 7h40’. Les heures de pause des équipages sont réglementées selon le créneau horaire d’exploitation et tiennent compte des heures de pointe et des heures creuses. La rentrée de bus au dépôt est également réglementée car les derniers bus quittent le réseau à 22 heures.


Des lamentations ?

Le chauffeur de la STUC en comparaison avec ceux évoluant chez les transporteurs informels ne peuvent pas se plaindre car son salaire qui n’est un secret pour personne avoisine les 150 USD hormis une prime journalière de 1.500 FC, des soins médicaux et autres avantages (les pécules de vacances, les frais pour la rentrée scolaire, la gratuité du transport sur toutes les lignes, les frais funéraires ainsi que les allocations de consolation).


Du tarif

Le Gouvernement Congolais, à travers, l’Accord Cadre signé avec Tata Motors Limited pour la fourniture de bus à la STUC s’était engagé à ne pas imposer un tarif en dessous du prix de revient de la STUC malheureusement cet engagement n’a pas été respecté et la STUC applique jusqu’à ce jour un tarif non rémunérateur qui est à l’origine du déséquilibre financier dans son fonctionnement. Cette question a été examinée lors de la Table ronde et des propositions concrètes allant dans le sens du réajustement tarifaire ont été faites sinon de l’octroi d’une subvention d’équilibre.


De l’affichage publicitaire et du recrutement des agents

Les affiches publicitaires sur les bus ne peuvent en aucun cas résoudre les problèmes d’une société de transport de grande taille comme la STUC étant donné que les recettes générées par cette dernière ne représentent même pas les 1/5 de sa production journalière.

Les statistiques des agents de la STUC dégagent que les provinces du Bandundu, Bas Congo et de l’Equateur représentent à elles seules plus de 80% des effectifs. Ceci démontre à suffisance que le tribalisme n’est pas un critère d’engagement à la STUC.


Le Gouvernement poignardé ?

La STUC sarl est une réalité palpable dans le vécu quotidien du kinois car les ¾ de la population se réveille avec la STUC et dort avec la STUC. C’est pourquoi d’ailleurs la STUC est appelé, à juste titre, MAKOLO YA BANA CONGO. Il est vrai que résorber le problème de transport dans une mégapole de 10 millions d’habitants, les quelques bus de la STUC n’y arriveront pas mais grâce à l’expertise et au pouvoir managérial de sa classe dirigeante et malgré tous les problèmes d’exploitation qui se posent, la STUC est déployé sur tous les grands axes de la Ville de Kinshasa et exploite 26 lignes couvrant géographiquement la Capitale.

Par sa politique d’exploitation qui vise à rapprocher les populations à la vie de la Cité (écoles, hôpitaux, marché, lieu de travail), la STUC reflète la réalisation palpable de 5 chantiers du Chef de l’Etat.